Un repas chez les elfes

par **Aldarion, Roi d'Arnor** Mer 21 Oct - 10:17

Mon cheval ralentis afin que je puisse mettre pied à terre. Un fois debout, je lui flatta l'encolure puis marcha d'un pas noble vers le palais. Il y avait der larges marches de plusieurs mètres, et sur la première un grand elfe m'attendait avec un large sourire.

"Roi Aldarion ! Quel honneur de vous déplaçez jusqu'à nous, voilà bien des temps que nous n'avons plus reçu la visite d'un homme, et surtout si celui-ci est de si noble lignée...Je vous en prie venez, la table est prête."

J'inclina légèrement la tête pour le saluer puis monta une à une les marches en marbre blanc. Les colonnes qui soutenaient les premiers balcons étaient entourés de lières et cette cité semblait être le coeur même de la nature. On traversa un couloir ouvert avec vue sur les montagnes d'en face et des cascades. Les murs du palais étaient ici couverts de mosaïques représentant avec soin des souvenirs historiques de leur passé glorieux. On arriva enfin au lieu du déjeuner. Une large terrasse suspendue au dessus de trois cascades, et avec une vue splendide sur la vallée, la forêt et ses alentours.
On s'assis sur les chaises confortables puis on commença à manger.
Entre nobles, on était tous du même avis : au diable le protocole ! Les prières, les discours, les baisers, les remerciements, les faveurs,...la barbe !
Je ne fus pas choquer de ne pas voir de viande à table car j'étais déjà venu à trois reprises chez les elfes.
Je dégustait un savoureux fromage lorsque l'elfe qui m'avait acceullit me dit :

"J'ai oublier de me présenter à vous. Je suis Elwoyt, l'intendant pour surveiller la Belle Cité car notre seigneur n'est pas là pour l'instant. Dites-moi, vous étiez venu pour un traité c'est bien cela non ?"

Je finis le morceau que j'avais en bouche puis répondit :

"Enchanté de faire votre connaissance, Elwoyt. Et bien, pour le commerce, cela fait des années que j'en fait avec les nains, les hommes du Gondor et du Rohan et tout le monde prospère. Votre royaume semble un peu seul et je pense que le commerce pourrait vous apportez que des avantages !"

Les six elfes qui étaient autour de la table, sauf l'intendant, se regardèrent. Elwoyt bu une gorgée de vin puis déclara sut un ton un peu courroucé :

"Notre royaume seul ? Nous sommes très bien ainsi et nous prospérons depuis des années. De plus, les hommes passent encore, mais les nains ? Faire du commerce avec eux serait impossible : ils ne savent pas apprécier le gpût des bonnes choses !"

Afin de ne pas brusquer les choses, je mangea avant de répondre un bout de pain avec un peu de beurre puis répondit calmement :

"Que du contraire, ils savent apprécier ! Ils sont maître dans l'art de la maçonnerie, de la bijouterie, de la poterie, de la sculpture,..."

Je n'eus pas le temps de continuer mon argumentation car l'elfe me coupa net :

"Pffff, que du vent que tout cela ! De la pierre, de la roche et encore de la pierre ! Parfois du métal, de l'or ou du bronze, peut-être de l'argent ou du plomb, du fer ou que sais-je, mais rien de recherché, rien de subtil ! Nous, nous avons réalisé aussi des sculptures, mais avec l'aide de toute la nature, et pas seulemet les monatgnes et le sol ! Le marbre, l'eben, l'or, le diamand, le crysatl,...l'eau ! Et nos bijoux sont tout aussi beau ! Aucun interet de commerce avec ce peuple !

Oûtré d'une telle haine raciale fondée sur la passé, je me permis de moi aussi, hausser le ton :

"Quelle manque de maturité ! Vous dites cela afin de ressemler à vos ancêtres ! Ho, les elfes et les nains se détèstaient, ho, il faut nous aussi le faire ainsi ! Mais eux onr réfléchis, ils sont prêt à faire la pas. Cela prouve que des deux peuples, c'est les nains les plus réfléchis !"

Les elfes, blessés dans leur fort interieur, se réfugièrent dans leur silence. Ils mangeaient presque tête baissée, sauf Elwoyt. Il me fusillait du regard, tout en croquant dans une tomate. Je bu une gorgée d'eau crystalline puis écouta la réponse de l'intendant :

"Nous y perderions si nous signons ce traité. De plus, il nous faut en discuter avec nos frères des Havres et de la Lorien. Pouvons nous y réfléchir ? Combien de temps nous donner vous ?"

Satisfait, je remis au fond de mon siège et termina le repas par un navet rose bonbon.

"De toute façon je n'avais pas le traité ici. Un traité, ça se réfléchis ! Prenez le temps que vous voudrez, et quant vous aurez décidé, allez à Khazad-Dûm. Le roi Ermador vous y recevra et me préviendra. Je viendrai directement et antre-temps vous pourrez déjà commencer à discuter. Vous avez le temps, mais ne tardez pas trop."

Je me leva, immité vers les six autres. Les elfes me reconduisirent à l'entrée de la cité et un serviteur m'apporta mon cheval. Je les remercia pour le repas puis tendis à l'intendant un petit parchemin sur lequel figurait mon sceau.

"J'ai signé. C'est votre droit de passage à Khazad-Dûm. Même les nains d'Erebor doivent parfois patienter pour avoir un droit de passage, alors vous imaginez des l
efes ! Avec ceci, vous entrez directement. Voilà. Au plaisir et à très bientôt je l'espère !"

Je sortit au galop, dircetion Khazad-Dûm. J'ai peut-être convaincu les elfes, mais j'ai dû mentir : jamais les nains ne m'ont dit qu'ils désirairent faire un pas vers les elfes. Je n'ai plus qu'à réparer ce détail maintenant. Il faut que Ermador soit là !